Ingénieurs pour demain

Trois élèves exposent leurs travaux lors d’un colloque international sur la chimie verte

Trois élèves-ingénieurs en agriculture ont valorisé leurs travaux sur la chimie verte à l’occasion du colloque international GCI 2011, « A Greener Chemistry for Industry », organisé par l’Université Lille 1 en décembre dernier.

Les travaux de Stéphane BRUNEL, Laurie BEROULE et Mathilde LEFÈVRE, réalisés en 4^ème année dans le cadre du « centre d’intérêt », ont été retenus pour être exposés sous forme d’une communication par poster.

Les trois « jeunes chercheurs » ont étudié la faisabilité de produire une biomolécule importante pour les industriels, l’acide lévulinique*. Ils proposent une synthèse innovante et « verte » de cette molécule à partir du fructose. Ce procédé assisté par micro-ondes permet d’obtenir l’acide lévulinique avec un rendement supérieur à 50%.

Les tuteurs de ce projet, Delphine MAREK, Jean-Pierre GADONNA et Larbi RHAZI sont fiers que leurs travaux aient été retenus pour ce colloque où de grands industriels comme Roquette et l’Oréal étaient présents, ainsi que les grands professeurs de la « chimie verte ».

Les étudiants et leurs tuteurs remercient fortement l’organisme OSEO pour son soutien financier sans lequel cette étude n’aurait pu aboutir.

*L'acide lévulinique est employé dans la fabrication de nylons, de caoutchoucs, de plastiques, et de produits pharmaceutiques. Dans la cosmétique, l’acide lévulinique est utilisé pour ses propriétés stabilisantes, sa contribution à l’équilibre du pH et son effet conservateur.

Web et Nutrition : le potentiel de la double compétence

Son diplôme d’ingénieur en Alimentation et Santé en poche en 2008, Charline CARDONA s’est donné les moyens de se faire une place parmi les experts en nutrition sur le web. Focus sur un parcours jalonné d’expériences professionnelles et de formations.

Cécile FIEVEZ : "Tu valorises aujourd’hui ton expertise en nutrition sur le web, peux-tu nous en dire plus ?"

Charline CARDONA : "Je travaille aujourd’hui pour Life&Company, une filiale du groupe CRM Company, spécialisée dans la communication digitale dans le domaine de la santé. Je suis à la fois consultante en nutrition, par exemple pour le site Figaro Santé, et chef de projet sur des programmes en ligne de prévention santé. Ce poste valorise les différentes compétences que j’ai acquises : rédaction, web, nutrition et gestion de projet !"

"Pourquoi et comment es-tu arrivée à faire de la nutrition sur le web ?"

Ça s’est fait par hasard ! Lorsque j’ai réalisé  mon mémoire de fin d’étude chez Nestlé comme chef de projet Nutrition, j’étais chargée, entre autre, de la veille. J’avais donc envie de partager les innovations produit ou les découvertes sur les aliments avec mes amis. Ces derniers étant submergés de mails et pas tous passionnés de Nutrition, j’ai vite eu envie de m’adresser directement à tous les consommateurs en créant un site de vulgarisation scientifique en nutrition : www.supernutrition.fr (à voir aussi sur Facebook).

Avec ce site, j’avais pour objectifs de rendre accessible les résultats des nouvelles recherches en Nutrition Santé, d’entrer dans une communauté de blogueurs spécialisés en nutrition et surtout de gagner en visibilité et en notoriété. J’ai ainsi rédigé pour d’autres sites et blogs, destinés aux professionnels de l’agroalimentaire. Grâce à cette expérience on line, j’ai décroché un emploi dans l’agence de communication Prunelle*. Pendant un an, j’ai été chef de projet nutrition pour des marques de grande consommation à valeur santé, telles que Teisseire 0% ou encore Fruit d’Or pro-activ’.

Après une expérience chez FranceAgriMer, je me suis rendue compte que les postes qui m’intéressaient demandaient tous un diplôme en marketing. Je me suis donc lancée dans un Master spécialisé en marketing de la santé, en alternance, à l’Université Pierre et Marie Curie (Paris V). En un an, j’ai ainsi pu acquérir une expérience dans l’industrie pharmaceutique et dans le digital en tant que chef de projet innovation, et valider en parallèle un diplôme en Marketing. Cette connaissance des deux secteurs : agroalimentaire et pharmaceutique ainsi que mes diverses expériences de chef de projet, m’ont permis de décrocher mon emploi actuel."

"Quel regard portes-tu sur ce parcours, pour le moins riche en rebondissements et en expériences ?"

"C’est vrai que j’ai eu différents postes en peu de temps. Cependant, je me rends compte que chacune de mes expériences m’apportent dans mon travail aujourd’hui. J’ai beaucoup travaillé à la sortie de l’école pour me faire une place dans le monde de la Nutrition d’une part, et dans le monde des bloggeurs d’autre part.

J’ai continué à m’auto former à la nutrition, en me tenant informée des nouvelles recherches, des nouveaux produits mais aussi de la réglementation qui évolue sans cesse. D’ailleurs la création de mon site m’oblige à faire une vieille quotidienne.

D’autre part, il m’a permis d’apprendre « sur le terrain » la manière dont fonctionne le web, et son intérêt pour informer directement les consommateur. Ces connaissances m’ont manquée dans mon cursus. C’est pour cette raison que je souhaite les partager aux étudiants en donnant mon premier cours aux élèves-ingénieurs de l’Institut."

*Agence de conseil et de communication en nutrition

Cécile FIEVEZ (Alimentation & Santé, 2009) - article paru dans le Trait d'Union n°364 (revue de l'Association des Ingénieurs et Anciens Elèves de LaSalle Beauvais)

Ambroise, en 5ème année de Géologie : « Mon semestre d’étude à Unilasalle Canoas ? Une belle expérience ! »

Ambroise, élève-ingénieur en 5^ème année de Géologie, revient tout juste d’un semestre d’études à Unilasalle Canoas, au Brésil. Là-bas, il a découvert une vision plus généraliste des sciences de l’environnement mais aussi… une autre façon d’étudier.

« Je suis parti à Canoas pour étudier l’impact environnemental des mines. Les cours ont beaucoup porté sur les sciences de l’environnement, sur des champs plus larges que ce que j’aurais pu voir à Beauvais.

Comme les études coûtent cher pour les étudiants brésiliens, la journée leur est laissée libre pour qu’ils puissent travailler. J’avais donc cours de 19h à 22h seulement, et parfois le matin pour des électifs supplémentaires que j’avais choisis. A Unilasalle Canoas, chaque élève construit son programme « à la carte », je me suis donc inscrit en plus à certains cours de master, dispensés le week-end. On partait souvent dans les marécages, effectuer des prélèvements d’eau, de sols, de plantes, voire parfois de faune, pour étudier l’état environnemental du milieu. En fait, j’ai fait beaucoup de biologie !

Cette variété m’a permis de m’ouvrir à d’autres univers que la géologie pure et d’avoir une vision plus globale de l’impact d’une exploitation minière sur l’environnement.

Grâce à cette multidisciplinarité, j’ai pu décrocher mon stage de fin d’études dans une entreprise canadienne qui monte des dossiers environnement pour l’industrie minière. En général, cela consiste à décrire la situation du milieu avant implantation d’une mine (flore, faune…) et toutes les contraintes qui y sont associées (notamment au niveau législatif). »

« Je me suis vite senti à l’aise »

Les cours étant dispensés le soir, Ambroise avait donc des journées libres. Journées qu’il a mises à profit… en travaillant.

« La semaine, je profitais de mes journées pour donner un coup de main aux chercheurs du laboratoire de chimie de l’université. Le travail portait sur un projet de recherche mêlant géologie et agriculture. L’objectif était d’étudier la composition des roches des environs pour fabriquer un fertilisant alternatif aux solutions chimiques. Ce travail m’occupait 2 jours par semaine.

Là-bas, c’était l’immersion totale, j’ai croisé très peu de Français et d’autres étrangers durant mon séjour. Je me suis vite senti à l’aise : le Brésil est un pays cosmopolite, de nombreux habitants descendent d’immigrés allemands ou italiens, je me suis donc facilement fondu dans la masse. La langue est facile à apprendre. Comme j’avais déjà suivi des cours de portugais pendant un an avant mon départ, j’ai surtout dû m’adapter à l’accent brésilien et aux spécificités linguistiques du pays.

J’ai quand même ressenti des différences par rapport à la France, surtout dans la façon d’appréhender les études. Au Brésil, le système prend en compte les contraintes des élèves, comme la nécessité pour nombre d’entre eux de travailler pour financer leur scolarité. Certains ont un travail difficile et aimeraient pouvoir étudier davantage, mais ils prennent leur situation avec le sourire et restent toujours de bonne humeur. J’ai apprécié la solidarité entre élèves, la diversité de leurs profils (certains étudiants reprenaient leurs études après une vie professionnelle déjà bien entamée), leur façon de « déconnecter » une fois les cours terminés.

Ce fut une belle expérience, ça m’a fait grandir. »

Bonne année 2012 !

Engagement, solidarité, respect, ...

Toutes ces valeurs forment un socle commun à tous les élèves et à l'ensemble de l'équipe éducative de LaSalle Beauvais.

Tous s'associent pour vous souhaiter une bonne année 2012.

Qu'elle vous apporte réussite et satisfactions.

L'essentiel est déjà en vous !

 

Merci à Camille Poli, élève-ingénieur en 3^ème année de Géologie, pour la réalisation du visuel.

L’accompagnement personnalisé des élèves, une spécificité lasallienne

Le passage du lycée à l’enseignement supérieur nécessite souvent un petit temps d’adaptation. C’est à ce moment là que l’accompagnement prend tout son sens. Les élèves de première année sont donc les principaux bénéficiaires de ce dispositif.

Au premier semestre de la première année, des tests de personnalité permettent à chaque étudiant d’identifier son « profil » d’apprenant. Comment j’apprends ? Comment je m’organise dans mon travail ? Autant de questions dont les réponses, couplées aux cours de méthodologie dispensés pendant le cursus, donnent des éléments de progression à chacun.

En plus de ce dispositif, chaque étudiant de première année se voit attribuer un tuteur, membre de l’équipe pédagogique ou administrative. Son rôle ? Suivre et conseiller chaque élève dans l’acquisition des méthodes de travail, l’aider dans la gestion de son temps, mais aussi l’épauler dans l’élaboration de ses parcours pédagogique et projet professionnel et assurer une écoute en cas de difficulté.

Pour finir, les étudiants de première année sont parrainés par un élève en année supérieure. Une sorte de « grand frère » ou de « grande sœur » qui permet de découvrir les rouages de la vie de campus et les infos pratiques.

Des élèves géologues se mobilisent après le séisme en Haïti

Dans le cadre d’une conduite de projet de 4^ème année, 8 élèves-ingénieurs de géologie ont participé à l’aide humanitaire apportée à Haïti. Deux d’entre eux, Amélie et Nicolas, ont pu se rendre sur place aux côtés de la fondation Architectes de l’Urgence. Le récit de leur expérience.

« Au début, il était question de créer un laboratoire transportable, mais nous avons dû rapidement y renoncer pour des questions de coûts. Nous avons finalement défini de nouvelles missions avec la fondation Architectes de l’Urgence. L’objectif était de réaliser des mesures géotechniques pour appuyer l’association sur ses projets de reconstruction en Haïti. La capitale de ce pays, Port-aux-Princes, a été frappée par un séisme dévastateur le 12 janvier 2010.

Pendant de longs mois, toute l’équipe a œuvré pour préparer notre mission sur place. Nous avons compilé les recherches bibliographiques et les cartes des sols afin d’avoir un maximum d’informations sur notre future zone d’études. Nous avons aussi géré tous les préparatifs logistiques nécessaires au bon déroulement de notre mission sur place.

Grâce au soutien financier d’un ancien élève, Nicolas Pélissier, nous avons pu obtenir deux billets aller-retour pour Port-au-Prince. Là-bas, pendant 7 semaines, nous avons pris des mesures avec un pénétromètre dynamique acquis par les Architectes de l’Urgence. Les mesures obtenues avec cet outil donnent des indications sur la résistance du sol qui permettent ensuite de formuler des déductions quant à la capacité portante pour les constructions. Nous avions été initiés à l’utilisation de cet outil grâce à une formation assurée par Semofi.

Notre travail a permis de fournir des préconisations pour l’amélioration de la résistance de bâtiments existants, de déterminer les terrains à risques (glissements, inondations, séismes) pour de nouvelles constructions, et de caractériser notamment le sous-sol de plusieurs dispensaires pour éviter toute catastrophe supplémentaire.

Ces deux mois ont été rapides et intenses. Nous avons été confrontés à un contexte géopolitique particulier dans lequel il fallait respecter les règles des ONG pour notre propre sécurité. La précarité des conditions de vie de la population, le peu de prix accordé aux vies des blessés et l’importance de leur foi nous ont vraiment étonnés.

Nous nous sommes impliqués et pourtant nous revenons frustrés car nous n’avons pas su dans quelle mesure nos travaux ont pu être exploités, mais aussi parce que nous n’avons pas eu l’impression d’apporter une aide décisive. Dans ce cas de catastrophe humanitaire, la somme des bonnes volontés semble toujours insuffisante… ».

Les pratiques culinaires à l’honneur pour les 10 ans de la formation

Ce jeudi 1^er décembre, c’était au tour des institutionnels, soutiens de la formation, de goûter aux joies de l’alimentation-santé. Au programme : visite de la plateforme de pratiques culinaires et ateliers de dégustation.

Pour l’occasion, Philippe Pouillart, enseignant-chercheur en immuno-nutrition, et Maxime Dooms, futur ingénieur en alimentation & santé (diplômé en janvier prochain), avaient préparé des purées de pommes cuites de 4 manières différentes : vapeur, micro-ondes, sous-vide et à l’anglaise. Des modes de cuisson qui altèrent plus ou moins les qualités nutritionnelles et organoleptiques des aliments.

Par ailleurs, sous la direction de Maxime, deux-élèves avaient réalisé des bouchées sucrées sur le thème du voyage, afin d’illustrer la dimension « culturelle » de l’alimentation.

Cette mise en avant des pratiques culinaires souligne la nouvelle orientation de la formation Alimentation & Santé, en cohérence avec les objectifs poursuivis par le Programme National pour l’Alimentation.

Le film de l’événement :

Des élèves-ingénieurs expérimentent les cultures « pièges à nitrates »

11 élèves du domaine d’approfondissement « Agronomie et territoire » ont mis en place et suivi une expérience sur les CIPAN (cultures intermédiaires pièges à nitrates).

L’objectif ? Mettre en évidence l’intérêt de ces cultures par la compréhension des mouvements de l’azote entre le sol et les plantes. Ces pratiques étant récentes, il existe peu de références agronomiques les concernant. Les réflexions menées par les élèves-ingénieurs sur une parcelle de l’école ont permis la réalisation de 3 posters scientifiques.

Les expériences ont porté sur la moutarde, la vesce, le trèfle et la phacélie, toutes cultivées sur les terres de LaSalle Beauvais. Ces plantes jouent leur rôle de piège à nitrates de septembre à novembre, date à laquelle elles sont fauchées et laissées sur place.

L’intérêt de ces plantes est de ne pas laisser le sol nu et d’éviter ainsi le phénomène d’érosion et de lixiviation (dissolution des sels minéraux, dont les nitrates, dans les eaux de ruissellement et leur transfert vers les nappes phréatiques), qui conduisent à l’appauvrissement des sols. Par ailleurs, en libérant progressivement de l’azote organique durant leur dégradation (une fois fauchées), ces plantes permettent de réintroduire l’azote dans le sol, au bénéfice des cultures futures. Cet enrichissement des sols permet donc de limiter la quantité d’apports (engrais, fertilisants).

Les élèves ont donc pu apprécier l’intérêt environnemental et agronomique des CIPAN.

Les aventures de deux élèves en Colombie

Pendant un mois, Elsa Meier et Audrey Picart, élèves-ingénieurs en géologie, ont arpenté les anciennes rizières de la ferme de Matepantano, située sur le campus Utopía* de Yopal, en Colombie (situer le campus sur une carte). C’est sous des conditions météo extrêmes (50 degrés au soleil, fort taux d’humidité) qu’elles ont réalisé la partie terrain de leur mémoire de 3^ème année. Au programme, relevés topographiques et cartographie des sol et sous-sol du campus. Témoignage.

« Notre mémoire s’inscrit dans un projet d’aménagement de la ferme d’Utopía. Leur projet vise à installer des cultures sur d’anciennes rizières et des terres marécageuses. Avant cela, un réseau de drainage performant pour assécher les terres et alimenter un plan d’eau existant devra être construit.

Notre mission consiste à réaliser une carte géomorphologique des terrains qui entourent le campus Utopía, en amont du projet. La prise des mesures sur place fut la première partie de notre travail. Notre équipement : une mire (règle graduée pour mesurer des différences d’altitude), un théodolite (instrument d’optique permettant de réaliser des mesures de triangulation), un GPS et… deux chevaux pour faciliter notre progression dans la savane !

Nous avons récolté des échantillons et des données que nous allons analyser à la plateforme géosciences de LaSalle Beauvais. Ils nous serviront à élaborer un MNT (modèle numérique de terrain), qui servira de base pour le projet. C’est la deuxième partie de notre travail.

L’expérience a été très enrichissante, tant du point de vue du travail demandé que de l’environnement. Nous avons réalisé une étude pédologique (étude des sols), qui est davantage du ressort des ingénieurs en agriculture, travaillé sur de l’hydrogéologie, utilisé des outils que nous n’avions jamais manipulés auparavant,… Bref, des éléments que nous n’avions pas encore abordés.

Le séjour a été très dépaysant. Entre les conditions climatiques éprouvantes (la chaleur plus la fin de notre stage qui coïncidait avec le début de la saison des pluies : de véritables rideaux d’eau !) et le petit-déjeuner haricots-viande à 6h du matin, nous avons vécu des situations peu communes et ramené quelques anecdotes dans notre sac de voyage. Comme la fois où, suite à de fortes pluies, nous avons dû attendre avant de prendre des mesures : un bébé caïman nous avait rendu une petite visite sur notre lieu d’étude ! Et les singes qui s’amusaient à nous lancer des baies pendant qu’Audrey tenait la mire ! »

*Sous la houlette de l’Université La Salle de Bogotá, le campus Utopía forme des élèves du Casanare, une région rurale et pauvre du pays, à l’agronomie et l’agriculture de demain. Ce projet revêt une forte dimension sociale, puisque le principal objectif poursuivi par Utopía est de lutter contre la fatalité de la violence et de la pauvreté en offrant des possibilités de formation aux jeunes défavorisés de la région.

 

Ils ont fêté la Sainte Barbe

Les 02 et 03/12, les élèves en géologie se sont réunis en l’honneur de Sainte Barbe, leur patronne. Après un vendredi festif (déguisements, locaux convertis en caverne préhistorique…), les élèves ont pu échanger, le samedi, avec des anciens élèves. Ci-après quelques photos.