Suite de notre campagne "Proud of LaSalle" avec le slogan de janvier : "Et si vous changiez le monde ?".
Découvrez le témoignage de :
- Margaux Denis, élève-ingénieur en alimentation & santé
- Jean-David Vernhes, enseignant-chercheur en géotechnique
- Xavier Quernin, chargé de mission handicap
Suivez cette campagne tout au long de l'année 2013-2014 sur Twitter via le hashtag #ProudOfLaSalle et retrouvez l'ensemble des témoignages recueillis sur ce blog dans la catégorie "Proud of LaSalle".
Nom : Lannoy
Prénom : Camille
Etudes en cours : Ingénieur en Alimentation et santé, actuellement en double-diplôme en Marketing stratégique à la School of Management de l’Université de Cranfield (Royaume-Uni)
Département d’origine : Nièvre (58), Bourgogne
Question – Pourquoi as-tu choisi la formation d’Ingénieur en Alimentation et santé ?
Camille - "J'ai choisi cette formation car je voulais allier à la fois le côté médical et le côté alimentation. Même si je m'oriente aujourd'hui vers un profil plus "commercial", j'ai toujours souhaité m'orienter vers un cursus scientifique.
Enfin, j'ai été "rassurée" par le côté post-bac/prépa intégrée. Je ne me sentais pas assez mature et préparée psychologiquement pour suivre une année de médecine ou aller en prépa."
Q –Quand tu as intégré LaSalle Beauvais, avais-tu une idée précise de ce que tu voulais faire plus tard ? Connaissais-tu les métiers possibles à la sortie de l’école ?
"A la base, je voulais faire ingénieur agro-alimentaire, donc c'est le métier vers lequel je m'orientais. Puis, mes préoccupations ont changé. Mais je dois admettre que j'ai mis pas mal de temps (au moins 2-3 ans) à savoir quels métiers étaient possibles à la sortie de l'école. Enfin, j'ai également mis du temps à m'avouer que j'étais plus faite pour le côté marketing/commercial, et peut-être moins pour le côté scientifique."
Q – Qu’est-ce qui t’a donné envie d’intégrer LaSalle Beauvais ?
"J'ai été admise dans d'autres écoles d'ingénieur agro, mais les portes ouvertes m'ont conforté dans mon choix d'intégrer LaSalle. J'ai été attirée par le campus, l'ambiance et la camaraderie qui règnent entre les étudiants. Enfin, les possibilités d'activités extra-scolaires sont quasiment illimitées, ce qui permet de totalement s'épanouir."
Q – As-tu mis du temps à t’adapter à l’école ?
"J'ai mis un peu de temps à m'adapter à l'école car je n'avais que 17 ans quand j'ai suis arrivée en première année. Mais l'intégration et tous les évènements permettent de s'intégrer très rapidement et nouer des relations à la fois intra- et inter-promos."
Q – Tout au long de ta scolarité à LaSalle Beauvais, as-tu participé à des activités extra-scolaires ? Si oui, que t’ont-t-elles apporté ?
"Je ne suis même pas sûre de me souvenir de toutes mes activités extra-scolaires...
En 1re année, j'ai fait du soutien scolaire à une jeune fille du quartier Argentine* avec l'association Rosalie. Je me suis également inscrite aux cours de danse.
En 2e année, j'étais responsable décoration du Rallye, et responsable de la Com' Out, tout en continuant la danse.
En fin de 2e année, avant mon stage à l'étranger, je me suis investie en tant que chargée d'étude chez Performer, la Junior-Entreprise de l'école, et en tant que vice-présidente de promotion.
En revenant, j'ai commencé à monter une stratégie pour prendre le poste de présidente de Performer d'avril 2012 à avril 2013.
Enfin, j'ai participé aux séances de yoga mises en place en avril-mai 2013.
En parallèle, j'ai aidé à l'organisation de nombreux événements, sauf parfois en 4e année, lorsque la gestion de Performer me prenait trop de temps.
J'ai énormément appris grâce à tous ces investissements associatifs. Tout d'abord, à gérer les priorités et organiser mon temps. J'ai également appris à organiser des évènements, coordonner une équipe et travailler tous ensemble, développer et faire appel au potentiel de chacun. Cela apprend également à gérer le stress, les situations compliquées, improviser ... Et surtout, on apprend à s'entraider, se donner des coups de main entre assos, entre promos, entre amis ou même entre personnes qui ne se connaissent pas. Les rencontres sont aussi une grosse part de la vie associative. Enfin, on apprend et on réfléchit beaucoup sur soi-même.
En bref, c'est une très bonne école de la vie."
Q – Tu es aujourd’hui en fin de scolarité, quel bilan tires-tu de ces années passées à Beauvais ? Qu’est-ce que tu as aimé ? Qu’est-ce qui t’a semblé difficile ?
"Je tire un bilan très positif de mes années passées ici. J'ai particulièrement aimé l'ambiance d'entraide et d'amitié. Sur le coup, certaines choses nous semblent difficiles à gérer, mais ce sont de bonnes expériences au final.
Rien ne m'a semblé particulièrement difficile, à part peut-être gérer le manque d'investissement de certaines personnes, notamment en Alimentation et Santé (à savoir aider pour les évènements, s'investir dans sa promo, etc...)."
Q – Aujourd’hui, quel est ton projet professionnel ?
"Aujourd'hui, mon projet professionnel est d'intégrer une multinationale dans le domaine alimentaire ou agricole et débuter ma carrière à l'international."
Q – Si tu devais décrire LaSalle Beauvais en un mot ?
"En 4 mots plutôt : l'école de la vie (sciences de la vie et développement personnel)."
Q – Un petit mot pour les lycéens ?
"Toujours croire en soi, ne pas avoir peur de s'engager, et profiter de chaque opportunité qui s'offre à vous."
*quartier de Beauvais
Campagne "Proud of LaSalle", la suite ! En ce mois de décembre, deux témoignages illustrent le slogan "Apprenez la Terre en grand".
Le témoignage de Tiphaine Novikoff, élève-ingénieur en géologie et vice-présidente de l'Association générale des étudiants (AGE) :
"Je pense que cette phrase est une évidence pour chaque étudiant de l’école, mais plus particulièrement pour les géologues. Depuis mon entrée à LaSalle Beauvais en 2010, ma formation m'enseigne la Terre. De l'atome à la chaîne de montagne, de la seconde aux millions d'années, du bassin sédimentaire à la galaxie : nous jonglons sans cesse avec les échelles afin de comprendre et de découvrir les interactions complexes entre la molécule, le minéral, la roche et la Terre. Nous l’apprenons en cours, et surtout nous mettons cela en application à travers nos nombreux terrains tout au long de notre formation. La théorie est alors illustrée, et nous découvrons, à échelle réelle, la force de la nature et sa complexité.
Je vais poursuivre mon cursus en spécialité pétrolière. Quand je pense que l'école m'apprend les bases pour mener une étude de prospection pétrolière, et que dans peu de temps je vais participer à la quête de l'or noir, je ne peux dire qu'une chose : oui on apprend ici la Terre en grand !"
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Suite de notre campagne "Proud of LaSalle" avec le slogan de décembre : "Apprenez la Terre en grand".
Découvrez les témoignages de :
- Tiphaine Novikoff, élève-ingénieur en géologie ;
- Olivier Bareix, responsable de la formation par apprentissage et de la VAE (à venir).
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Campagne "Proud of LaSalle", la suite ! En ce mois de novembre, cinq témoignages illustrent le slogan "Jusqu'où voulez-vous grandir ?".
Le témoignage de Jean-Pierre Heusèle (Agriculture, 1958), président des conseils de surveillance de SA Groupe Alliance, Groupe Bigard, SOCOPA Viandes, et ancien président de la campagne de mécénat L.I.F.E.
"Je pense et je crois qu’il faut, tous, tout faire en permanence dans la multiplicité de nos actions pour grandir et faire grandir, à titre professionnel et personnel, pour tenter de devenir un leader sans bruit, sans triomphalisme, le tout pour assurer l’avenir du grand ensemble…
L’ISAB devenu Institut Polytechnique LaSalle Beauvais, n’a-t-il pas, pour le bien de tous, grandi en permanence et de ce fait cultivé des valeurs ?
L’ISAB 1960 - rue Nully d’Hécourt - et LaSalle Beauvais 2013, rien à voir, même si l’esprit est resté affaire d’Hommes et de structures avec, en permanence, sur tous les dossiers, une stratégie de croissance et de développement. Regardez, réfléchissez et constatez !!!"
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Campagne "Proud of LaSalle", la suite ! En ce mois de novembre, cinq témoignages illustrent le slogan "Jusqu'où voulez-vous grandir ?".
Le témoignage de Tiphaine Novikoff, élève-ingénieur en géologie et vice-présidente de l'Association générale des étudiants (AGE) :
"Lorsqu'on arrive en première année, on se demande ce que nous allons vivre pendant cinq ans d'école. A LaSalle Beauvais, on découvre très vite que la force du campus, c'est la vie associative. Il n'y a aucune limite pour s'investir. En première année, me sentant trop timide ou pensant ne pas avoir les capacités pour, je n'ai pas osé m'investir. Et puis, en deuxième année, je me suis retrouvée responsable d'un week-end pour la Géode, en troisième année vice-présidente de l'AGE, et cette année présidente du Bureau régional des élèves ingénieurs (BREI) de Picardie ! Ces expériences ont été pour moi le moyen de me surpasser, d'aller au-delà de certaines de mes peurs, de me prouver que j'étais capable de mener un projet ou une équipe. On a tous les capacités de grandir, de s'investir : ici j’ai osé me surpasser. "
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Partir un semestre à l’étranger, quand on est étudiant, c’est assez courant. Rejoindre sa destination finale en vélo, ça l’est beaucoup moins ! C’est pourtant le challenge que s’est lancé Thibaud Piroux, élève-ingénieur en 5è année de la formation Agriculture. Parti le 14 juillet de Suisse, il a rallié Uppsala (au nord de Stockholm), la ville qui abrite la Swedish University of Agriculture Sciences, où il est actuellement en échange académique.
En 28 jours (visites touristiques comprises), l’élève aura parcouru un peu plus de 2400 kilomètres à travers 5 pays : la Suisse, l’Autriche, l’Allemagne, la Pologne et la Suède. En avance sur son timing, Thibaud s’est même offert le luxe de parcourir 650 kilomètres de plus, un « tout petit détour très sympathique » comme il le décrit lui-même, entre Karlskrona (sud de la Suède) et Uppsala.
Et comme cela ne suffisait pas, il a rejoint la Laponie quelques jours seulement après son installation à Uppsala pour un trek de 5 jours qui l’a amené au Kebnekaise, le point culminant de la Suède (2106 mètres).
Bref, un beau voyage en guise d’introduction à un semestre qui s’annonce riche d’échanges et de rencontres au sein de la Swedish University of Agriculture Sciences d’Uppsala. L’élève y étudie les « contaminated soils » et le « water management », des cours « très intéressants » dixit Thibaud, dans une ambiance multiculturelle. Plus d'images du road trip ici.
Campagne "Proud of LaSalle", la suite ! En ce mois de novembre, cinq témoignages illustrent le slogan "Jusqu'où voulez-vous grandir ?".
Le témoignage de Camille Eprinchard, élève-ingénieur en Agriculture.
"Si l’on sait tous que, par définition, « grandir » signifie « augmenter en taille et en maturité », c’est à LaSalle Beauvais que j’ai commencé à comprendre la véritable portée de ce mot. Car « grandir », c’est commencer par quitter ses parents et apprendre à s’organiser seul : pour la lessive, les démarches administratives, la gestion de son budget... Pour moi cela fut plutôt radical car j’habitais à plus de 800 km de l’institut !
« Grandir », c’est aussi élargir nos horizons et découvrir de nouvelles cultures. En partant à l’étranger par exemple.
« Grandir », c’est reconnaître que l’on ne peut pas toujours tout faire seul, et que demander de l’aide est aussi une preuve de maturité. On réalise l’intérêt d’avoir l’esprit d’équipe pour les dossiers, les projets ou l’organisation des évènements de l’école.
Enfin « grandir », c’est comprendre que l’on ne finira jamais d’apprendre, de découvrir, d’essayer, de tomber et de se relever. C’est vrai tous les jours durant les cours, à l’équitation le jeudi après-midi, mais aussi lors des semaines de partiels. Mais aussi, lors des stages en entreprise, où je suis directement confrontée aux problématiques du monde du travail.
C’est en prenant le temps de regarder en arrière que je m’aperçois que je ne suis plus la même qu’à mon arrivée, il y a déjà 3 ans. Et même si je suis déjà une adulte, je sais maintenant que je ne finirai jamais de grandir…"
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Campagne "Proud of LaSalle", la suite ! En ce mois de novembre, cinq témoignages illustrent le slogan "Jusqu'où voulez-vous grandir ?".
Le témoignage de Louise Buxant, élève-ingénieur en Agriculture.
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